Aller au contenu

SOS TITANIC – Le fond de l’eau est frais

  • Globul 

SOS Titanic
Auteur(s) : Bruno Cathala, Ludovic Maublanc
Illustrateur(s) : nc
Éditions :
Genre : jeu de de cartes
Mécanisme(s) : réussite, coopératif
Thème : Titanic
Année : 2013
À partir de…
Solo à 5 joueurs (à confirmer)
Durée de partie : 30 à 45 min.
Indicateur de prix : prototype

 

Le 14 avril 1912 à 23h, le RMS Titanic était the place to be. À peine une heure plus tard ils voulaient tous grimper dans un minuscule canot ! SOS Titanic est un jeu coopératif (ou solo) qui propose de lutter contre le temps pour sauver le maximum de passagers du fameux paquebot.

La mécanique de base du jeu est celle de la réussite, il va falloir créer des files de passagers. Pour évacuer tout le monde il faut remplir quatre canots, deux de première classe avec treize passagers à bord et deux de seconde avec dix-sept naufragés dans chaque. Deux soucis essentiels, d'une part dans la panique les passagers sont mélangés, d'autre part le bateau coule ! Il faut bien mettre les passagers dans l'ordre, par classe et par numéro de carte. Chaque joueur a un personnage bien précis qui lui autorise certaines actions. Par ailleurs des cartes permettent diverses choses mais, si un joueur est coincé il doit « tourner une page ». Cela veut dire faire avancer le temps et pousser un peu plus le Titanic vers sa destination finale, 4000 mètres plus bas.

SOS Titanic

 

Il faut donc arranger les files de passagers au mieux, réussir à débloquer les petits numéros pour démarrer les canots et déplacer le plus rapidement possible les cartes vers la poupe parce que de l'autre côté ça bubulle déjà ! Moins il y a de cartes et plus il est facile de se faire coincer, c'est là que l'équipe s'échauffe, élabore des plans compliqués, tente la chance parfois. Petit stress final et le majestueux navire s'enfonce définitivement, avec ou sans passagers ?

Nous avons testé le prototype du jeu à Cannes sur le stand Ludonaute, il devrait sortir à l'automne 2013. L'ambiance est bien construite, tourner une page à chaque échec et voir le bateau s'enfoncer est assez terrible. La réussite est un système un peu daté mais bon, pourquoi pas.